Sans surprise, le Parlement algérien a adopté dimanche 7 février la réforme de la Constitution (499 voix pour, 2 contre et 16 abstentions), qui avait été initiée par le président Abdelaziz Bouteflika, il y a cinq ans, au moment des révolutions arabes.
Mais ce vote a été boycotté par l'opposition qui juge que le nouveau texte n'apporte aucune réponse à la crise que vit aujourd'hui le pays.
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