Une ancienne collaboratrice vit depuis plusieurs années à New-York. Comme beaucoup d'Africains, elle a pensé réussir dans ce pays.
Elle dit qu'en dehors de son travail régulier, enseigner le français, elle a monté une petite affaire, notamment dans le domaine culturel. Et voilà qu'elle s'adresse à des institutions, des services, en Afrique, dans le domaine culturel. Elle a envoyé des lettres, des appels et personne ne bouge. On ne lui répond même pas. Désolée, désespérée même, elle me dit : « Je comprends maintenant pourquoi l'Afrique ne bouge pas. » il s'agit, je la rectifie, de l'Afrique francophone. Les francophones ont hérité du mal français.
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