Saleh Kebzabo, président de l'UNDR au Tchad, comprend le mal-être des jeunes mais il les invite à prendre davantage leur avenir en main.
Au Tchad, les bacheliers ont commencé ce lundi 17 juillet à passer les épreuves du baccalauréat 2017. Une jeunesse qui, avec ou sans diplôme, ne se reconnaît pas dans la classe politique. Saleh Kebzabo, chef de file de l'opposition tchadienne, explique que la colère des jeunes est légitime puisque le président Idriss Déby est au pouvoir depuis presque trente ans. Mais lui-même se montre peu enclin à laisser trop vite la place aux jeunes. Le président de l'UNDR, l'Union nationale pour le développement et le renouveau, répond aux questions de Sandrine Blanchard.
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