L'accord de paix d'Alger, signé en 2015 pour permettre aux protagonistes maliens de regarder dans la même direction, pose problème dans sa mise en œuvre.
Ce constat malheureux et qui n'incite pas à l'optimisme quant à une sortie de crise, a été fait par le Comité de suivi dudit accord dont le président n'est personne d'autre que l'Algérien Ahmed Boutache. Parmi les nombreux grains de sable qui dérangent la marche en avant de la machine de la paix, il y a la question des armes lourdes et du désarmement. La Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA) et la plateforme, principaux groupes armés signataires de l'accord, en effet, exigent de rester propriétaires des armes le plus longtemps possible.
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