Au Nigeria, Amnesty International accuse les forces de sécurité nigérianes d'avoir ignoré les mises en garde répétées sur les mouvements de combattants de Boko Haram dans l'Etat de Yobe, quelques heures avant et après l'enlèvement de 110 jeunes filles dans leur école de Dapchi. Le rapport publié mardi 20 mars dénonce des manquements sécuritaires lors de l'enlèvement du 19 février dernier et demande l'ouverture d'une enquête.
En se basant sur les témoignages de 23 personnes et trois responsables en charge de la sécurité, Amnesty International indique dans son rapport que les militaires et la police avaient été prévenus que des combattants étaient en route pour Dapchi le 19 février dernier.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article