A peine trois mois à la tête de l'Afrique du Sud, que le président Cyril Ramaphosa a maille à partir avec la justice. Ces déboires judiciaires ont démarré en fin juillet 2019, à la suite d'une déclaration de la médiatrice de la République sud-africaine, Busisiwe Mkhwebane, qui l'accuse d'avoir menti à propos des donations reçues lors de son élection à la tête de son parti, le Congrès national africain (ANC) en 2017.
Ayant pour mission de contrôler les agissements de l'exécutif, dame Mkhwebane a affirmé que Ramaphosa avait trompé le Parlement de façon «délibérée» sur une donation à sa campagne de 500.000 rands (environ 21 millions de francs CFA) faite par un groupe industriel sulfureux.
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article