Le parti au pouvoir, qui dirige l'ancienne colonie allemande depuis son indépendance en 1990, est une nouvelle fois donné favori des scrutins prévus. Cependant, une récession économique sévère sévit à travers son terriroire et la grogne de la population se poursuit.
Les analystes estiment que les consultations générales, qui vont se dérouler sur place, ne sont qu'« une formalité pour le régime, malgré la crise ». Henning Melber, par exemple, a indiqué:« Il n'y a pas d'alternative crédible à la Swapo (Organisation du peuple du sud-ouest africain), avec une opposition aussi faible, elle n'a rien à craindre ».
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