Il vaudrait mieux ne plus parler, chez nous, de développement ni de progrès, encore moins de relance de l'économie et de croissance. Pourquoi s'acharner à vouloir parler de choses qui, paraît-il et à notre humble avis, ne sont pas fait pour nous, que dire alors d'y espérer un jour les voir prendre forme?
Loin d'être excessif ou de vouloir jouer les Cassandre et autre défaitistes, nos propos ne font qu'exprimer le constat d'un observateur doublé d'un modeste acteur de la vie publique, qui, depuis plus de 40 ans, n'arrête pas de se triturer les méninges autour d'une question qui reste toujours d'actualité depuis près de deux siècles : «Pourquoi les autres avancent et nous non ?»
...
Contenu de l'abonnement AllAfrica
Vous devez être abonné à allAfrica.com pour avoir un accès complet à certains contenus.
Vous avez sélectionné un article dans les archives d'AllAfrica, qui nécessite un abonnement. Vous pouvez vous abonner en visitant notre page d'abonnement. Ou pour plus d'informations sur la façon de devenir un abonné, vous pouvez lire notre présentation dans la rubrique abonnements et contributions.
Pour plus d'informations sur nos services d'abonnement premium:
Vous pouvez également accéder librement - sans abonnement - à des centaines d'articles sur l'Afrique et à des milliers d'articles récents à partir de notre page d'accueil »
Vous êtes déjà abonné ? Connectez-vous pour avoir un accès complet à l'article