Cet ancien commandant Séléka est soupçonné de crimes de guerre et crimes contre l'humanité en Centrafrique en 2013. Des faits qu'il aurait commis alors qu'il était successivement à la tête d'organismes de sécurité importants. Chacune des parties a repris une dernière fois la parole pour donner leurs arguments.
L'accusation a demandé à la Cour de valider les charges contre Mahamat Saïd Abdel Kani, une position partagée par la représentante des victimes. Au contraire, la défense d'Abdel Kani à appeler à ne pas confirmer les charges. Selon l'avocate : ce dossier met en avant des faits qui ne relèvent pas de juridictions pénales internationales. Elle a tenté de démontrer que les éléments présentés par l'accusation ne sont pas suffisants pour justifier que le dossier soit jugé.
...