Les réactions se succèdent après la mort d'une petite fille à Buea, en zone anglophone, tuée par un gendarme, jeudi 14 octobre. De nombreux habitants avaient ensuite marché dans les rues de la ville une partie de la journée, sans heurts, appelant à ce que la violence cesse, dans cette région marquée par un conflit armé entre séparatistes et forces gouvernementales depuis bientôt cinq ans.
Des messages de condoléances ou des mots de colère, vendredi 15 octobre, sur les réseaux sociaux. Ces mêmes réseaux sur lesquels défilaient jeudi 14 octobre les images des deux corps sans vie. L'enfant portée par la foule et le gendarme laissé en bord de route.
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