Luanda — L'Angola a des investissements dans les infrastructures des technologies de l'information et de la communication (TIC) qui permettent la création d'un portefeuille mobile, qui permet de faire des versements, des consultations et les retraits, du transfert instantané de valeurs et l'achat de divers produits par téléphone.

Cette information a été fournie aujourd'hui, à Luanda, par le secrétaire d'État aux télécommunications et aux technologies de l'information, Pascoal Alé Borges, à l'ouverture de la 5e Conférence sur la transformation numérique. Il souligné que les services d'innovation technologique dans le domaine financier permettaient de réduire l'utilisation de la monnaie physique.

Il a mentionné que les services d'innovation technologique permettaient également l'extension des opérations et du commerce à travers le pays dans des endroits où les services bancaires traditionnels n'existent pas.

D'autre part, Pascoal Borges a souligné, dans son discours, que la croissance exponentielle des TIC dans le secteur avait permis l'adoption de la capillarité (mouvement ou dispersion) des réseaux de télécommunications et des services mobiles, par les opérateurs de communications électroniques et les fintechs.

L'adoption de la capillarité des réseaux de télécommunications et des services mobiles par les opérateurs, a soutenu le secrétaire d'Etat, a servi à établir et à créer des opportunités d'affaires, générant ainsi de nouveaux emplois dans les services.

Les TIC, en tant qu'instrument de promotion du gouvernement électronique et de la société de l'information et de la connaissance, imposent également une nouvelle attitude dans la relation étroite entre l'exécutif et les citoyens.

La 5e Conférence sur la transformation numérique sur "Télécommunications, numérisation et inclusion financière", qui dure une journée, compte la participation de banques angolaises et d'opérateurs de télécommunications et de technologies de l'information.