Au cours de sa première participation à la grand-messe annuelle des Nations unies, le président français a martelé la même exigence : en Syrie comme au Mali, il ne faut pas perdre de temps, malgré les pesanteurs du système onusien. Il s'agissait également pour lui d'affirmer le nouveau style de la diplomatie française.
Elle était presque en embuscade dans le hall des Nations unies. Alors, pour éviter Ségolène Royal, François Hollande a préféré tourner les talons : Valérie Trierweiler n'est pas loin. Le président français voulait à tout prix éviter la photo qui aurait pu relancer le feuilleton et parasiter ses premiers pas aux Nations unies.
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