Smart and Simple Présente UN Nouveau Changement De Paradigme Pour Les Services Publics

7 October 2015
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African Media Agency (New York)
press release

Johannesburg — Le secteur des services publics est confronté à une réalité mouvante. Le modèle économique dans le secteur de l'énergie est soumis à une immense pression : ainsi que Gartner l'a récemment exprimé, l'énergie est en pleine transition depuis un modèle de production centralisée et de demande illimitée vieux d'un siècle vers des modèles distributifs et des exigences accrues afin sécuriser l'approvisionnement.

Ce type de bouleversement n'est pas inhabituel. C'est d'ailleurs ce qui caractérise à peu près toutes les industries aujourd'hui, en raison de l'énorme influence des nouvelles technologies. Les vieux modèles d'activité sont soumis à une pression particulière et doivent se réinventer ou être abandonnés par les nouveaux anticonformistes. Les exemples de cette tendance ne manquent pas : Airbnb, Uber, et même le désormais omniprésent format MP3 sont en train de supplanter leurs prédécesseurs, si ce n'est déjà fait. Quiconque croit pouvoir échapper à cette tendance risque de devenir le roi nu et de voir bientôt une start-up le remettre en cause ainsi que sa garde-robe étiolée.

Cependant, il est clair que l'énergie n'est pas un taxi, un hôtel, ni un groupe de rock. Les changements dans le secteur de l'énergie ne s'opèrent pas sur quelques semaines, mois ou années, mais sur des décennies. L'infrastructure énergétique est onéreuse, colossale et monolithique. Même si des sources alternatives et des modèles décentralisés font leur apparition, ces changements ne peuvent s'opérer du jour au lendemain. Dans cette nouvelle réalité, les données, les audits et la conformité travaillent de concert pour assurer de nouveaux revenus aux services publics.

Pour un simple observateur, cela peut vouloir dire que le temps joue en la faveur du secteur de l'énergie, mais en fait, c'est tout le contraire. Les géants se transforment lentement et, dans un environnement où chaque centime compte, cela complique les choses. La question du gaspillage ne doit jamais être négligée et l'efficacité est primordiale. Et c'est sans compter sur l'avènement d'une catégorie de consommateurs engagés qui exigent certaines interactions, tout en accumulant toujours plus de technologies personnelles, ce qui pèse davantage sur l'infrastructure.

Nous en arrivons donc à notre argument principal, celui dont beaucoup de cadres du secteur de l'énergie ont déjà entendu parler : le fait est que les systèmes du big data et des réseaux électriques intelligents représentent le salut du modèle économique du secteur de l'énergie. Les chiffres sont formels : les services publics ayant adopté des concepts de réseau électrique intelligent à l'aide de SAP ont, en moyenne, présenté des rendements supérieurs de 61 %, grâce à la réduction des pannes et à l'amélioration de l'efficacité de leur équipement. Le coût des audits en matière de santé, d'environnement et de sécurité a diminué de moitié, tandis que les erreurs de facturation ont chuté de 28 %.

Ce sont là des chiffres significatifs qui démontrent la puissance de la culture des données. Pourquoi les services publics obtiennent-ils d'aussi bons résultats ? Ce n'est pas le fruit du hasard. SAP dispose d'une expérience qui le place en tête des solutions de données, et nous pourrions être tentés de tomber dans l'autosatisfaction. Mais la vérité, c'est que le secteur de l'énergie est inefficace et figé dans le passé. Il reste encore de nombreux tours de vis à donner. Les fuites, le temps perdu sur des processus qui pourraient être automatisés, le personnel devant régler les litiges avec les clients... En effet, l'idée d'un modèle d'exécution universel a pu être autrefois pertinente, mais elle présente dorénavant de graves lacunes. Ainsi, les services publics doivent exercer leur activité intelligemment et commencer à simplifier leur fonctionnement.

Ces propos ne visent pas à être condescendants. Comme mentionné précédemment, le modèle de service du secteur de l'énergie n'est pas une danseuse ballerine pouvant tournoyer sur elle-même facilement. Il a besoin de temps, de planification et d'une mise en œuvre minutieuse. Les big data offrent tout cela, surtout lorsqu'elles sont combinées avec le monde des capteurs et de l'automatisation machine to machine.

Il est nécessaire de disposer des bonnes plates-formes et des bons partenaires afin d'avoir un impact global dans toutes les branches d'activité. Je proposerais naturellement SAP et ses solutions de premier rang, outre le fait que l'entreprise célèbre sa dixième année à la tête du classement Gartner sur les systèmes d'information clientèle, mais ce n'est pas l'objet de mon propos ici. Il est surtout primordial que les services publics et leur chaîne de valeur adoptent tous les concepts de big data et de réseau électrique intelligent. Cela permettra d'inciter à plus d'efficacité, de faciliter l'automatisation, de se prémunir des incertitudes, et bientôt de créer un modèle économique du secteur de l'énergie qui soit proactif, attractif et réactif.

Ces traits caractéristiques faisaient défaut à la « vieille garde », qui s'en trouvait sujette à des perturbations. Le secteur de l'énergie ne peut pas vraiment être rangé à la même enseigne. Un nouveau venu ne sera pas en mesure de déloger soudainement un acteur aussi important qu'un fournisseur d'énergie ; il ne fera qu'ajouter au besoin de changement. L'énergie est l'un des rouages faisant tourner notre monde moderne, et le fait qu'elle soit incontournable ne signifie pas qu'elle est infaillible. Quand votre toit s'effondre, vous avez besoin d'un nouvel abri. Quand une montagne s'effondre, elle emporte le village avec elle.

Distribué par African Media Agency (AMA) pour SAP Afrique.

Source: SAP Afrique

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